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| Victor Hugo | |
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Angel-of-mind Admin
Nombre de messages : 1207 Age : 45 Localisation : Suisse Réputation : 1 Date d'inscription : 05/08/2008
| Sujet: Victor Hugo Mar 19 Aoû - 11:44 | |
| Victor HugoBiographieNaissance 1802, Besançon Décès 1885, Paris Activité Écrivain, poète, dramaturge Nationalité France Mouvement Romantisme Œuvres principales Cromwell, Hernani, Ruy Blas, Notre-Dame de Paris, Les Misérables, Les Châtiments, Les Contemplations Couronné deux fois par cette société littéraire, nommé par elle maître ès jeux floraux en1820, distingué par l'Académie française en 1817, à l'âge de quinze ans, pour une pièce sur les Avantages de l'étude, s'essayant à une tragédie (Irtamène dont on trouve quelques fragments dans Littérature et Philosophie mêlees), il comprit que sa vocation était toute littéraire, abandonna les mathématiques, et lança en 1822 les Odes. Il obtint une pension de 2 000 francs de Louis XVIII, peut-être pour son livre, peut-être pour un trait de générosité dont le Roi fut touché ; il se maria (1822), et ne songea plus qu'à marcher sur les traces de Lamartine, qui était l'idole du jour. Victor Hugo se multiplie en créations. Les recueils de vers et les drames se succèdent rapidement. En librairie, c'est Notre-Dame de Paris, roman (1831), Littérature et philosophie mêlées (1834), Feuilles d'automne, poésies (1831), Chants du crépuscule, poésies (1835), Voix intérieures, poésies (1837), Rayons et Ombres, poésies (1840), Le Rhin, impressions de voyage (1842). – Au théâtre, c'est Le Roi s'amuse, en vers (1839), représenté une fois, puis interdit sous prétexte d'allusion politique, Lucrèce Borgia, en prose (1833), Marie Tudor, en prose (1833), Angelo, en prose (1835), Ruy Blas, en vers (1838), les Burgraves, en vers (1843). En 1841 il avait été élu de l'Académie française, après un premier échec. En 1845 il fut nommé pair de France. En 1848 il fut élu député de Paris à l'Assemblée Constituante, fonda le journal l'Evénement pour préparer sa candidature à la Présidence de la République, et devint un personnage politique. A la Constituante, il siégea parmi la droite et vota ordinairement avec elle. Peu soutenu dans sa candidature à la Présidence, mais réélu député de Paris, il siégea à gauche à l'Assemblée législative, se marqua énergiquement comme anti-clérical (Loi sur l'enseignement) et inclina peu à peu vers le groupe socialiste. Au 2 décembre 1851 il se mêla au mouvement de résistance, et dut prendre la route de l'exil. Il se retira en Belgique, puis à Jersey, puis à Guernesey, refusa de bénéficier des amnisties, et ne rentra en France qu'en 1870. Pendant son séjour à l'étranger, il publia Napoléon le Petit, et écrivit l'Histoire d'un crime, pamphlets politiques en prose, Les Châtiments (1853), satires en vers contre les hommes de l'Empire, Les Contemplations, poésies (1856), la première Légende des Siècles (1859), Les Misérables, roman (1862), William Shakespeare, étude critique (1864), Les Travailleurs de la mer, roman (1866), Les Chansons des rues et des bois, poésies (1865), etc. Revenu à Paris sous la troisième république, il vit le siège de 1870 et la guerre civile de 1871, qui lui inspirèrent l'Année terrible, poésies (1872). il donna encore la deuxième Légendes des Siècles, poésies (1877), l'Art d'être Grand-Père, poésies (1877), la troisième Légende des Siècles, poésies (1881), les Quatre vents de l'esprit, poésies (1882). Il avait été nommé sénateur par le collège électoral de Paris en 1876. Il parla peu. Il vota constamment avec la gauche. Ses opinions politiques d'alors étaient représentées par le journal Le Rappel, fondé vers la fin de l'Empire par ses parents et alliés. Il mourut le 22 mai 1885, « dans la saison des roses », comme il l'avait prédit quinze années auparavant, à l'âge de 83 ans, comme Goethe. Son corps fut déposé au Panthéon, après les funérailles les plus magnifiques que la France ait vues depuis Mirabeau. Il a laissé une grande quantité d'œuvres inédites qui paraîtront successivement. En 1886 on en a donné deux, le Théâtre en Liberté, et la Fin de Satan, qui n'ont rien ôté à sa gloire. Le rocher de l'Ermitage, 1855, dessin de Victor Hugo ThéâtreCromwell (1827) Amy Robsart (1828) Hernani (1830) Marion Delorme (1831) Le Roi s'amuse (1832) Lucrèce Borgia (1833) Marie Tudor (1833) Angelo, tyran de Padoue (1835) Ruy Blas (1838) Les Burgraves (1843) Torquemada (1882) Théâtre en liberté (posthume : 1886) Romans Luc-Olivier Merson (1846-1920), illustration pour Notre-Dame de Paris, 1881Bug-Jargal (1818) Han d'Islande (1823) Le Dernier Jour d'un condamné (1829) Notre-Dame de Paris (1831) Claude Gueux (1834) Les Misérables (1862) Les Travailleurs de la mer (1866) L'Homme qui rit (1869) Quatrevingt-treize (1874) PoésiesOdes et poésies diverses (1822) Nouvelles Odes (1824) Odes et Ballades (1826) Les Orientales (1829) Les Feuilles d'automne (1831) Les Chants du crépuscule (1835) Les Voix intérieures (1837) Les Rayons et les ombres (1840) Les Châtiments (1853) Les Contemplations (1856) Première série de la Légende des Siècles (1859) Les Chansons des rues et des bois (1865) L'Année terrible (1872) L'Art d'être grand-père (1877) Nouvelle série de la Légende des Siècles (1877) La Pitié suprême Le Pape (1878) L'Âne (1880) Religions et religion (1880) Les Quatre Vents de l'esprit (1881) Série complémentaire de la Légende des Siècles (1883) Recueils posthumes :La Fin de Satan (1886) Dieu (1891, 1941) Autres textesÉtude sur Mirabeau (1834) Littérature et philosophie mêlées (1834) Le Rhin (1842) Napoléon le Petit (pamphlet, 1852) Lettres à Louis Bonaparte (1855) William Shakespeare (1864) Paris-Guide (1867) Mes Fils (1874) Actes et paroles - Avant l'exil (1875) Actes et paroles - Pendant l'exil (1875) Actes et paroles - Depuis l'exil (1876) Histoire d'un crime - 1re partie (1877) Histoire d'un crime - 2e partie (1878) L'Archipel de la Manche (1883) Victor Hugo est un personnage pour lequel j'ai beaucoup d'admiration, je l'ai beaucoup étudié et choisit lors de mes exposés scolaires. J'ai d'ailleurs des éditions très rares et très anciennes de ces oeuvres, une chance vraiment pour moi. | |
| | | Angel-of-mind Admin
Nombre de messages : 1207 Age : 45 Localisation : Suisse Réputation : 1 Date d'inscription : 05/08/2008
| Sujet: Re: Victor Hugo Mar 19 Aoû - 12:30 | |
| Voici donc quelques oeuvres que j'affectionne profondément
À MADEMOISELLE FANNY DE P.
Ô vous que votre âge défend, Riez ! tout vous caresse encore. Jouez ! chantez ! soyez l'enfant ! Soyez la fleur ; soyez l'aurore !
Quant au destin, n'y songez pas. Le ciel est noir, la vie est sombre. Hélas ! que fait l'homme ici-bas ? Un peu de bruit dans beaucoup d'ombre.
Le sort est dur, nous le voyons, Enfant ! souvent l'oeil plein de charmes Qui jette le plus de rayons Répand aussi le plus de larmes.
Vous que rien ne vient éprouver, Vous avez tout, joie et délire, L'innocence qui fait rêver, L'ignorance qui fait sourire.
Vous avez, lys sauvé des vents, Coeur occupé d'humbles chimères, Ce calme bonheur des enfants, Pur reflet du bonheur des mères.
Votre candeur vous embellit. Je préfère à toute autre flamme Votre prunelle que remplit La clarté qui sort de votre âme.
Pour vous ni soucis ni douleurs, La famille vous idolâtre. L'été, vous courez dans les fleurs ; L'hiver, vous jouez près de l'âtre.
La poésie, esprit des cieux, Près de vous, enfant, s'est posée ; Votre mère l'a dans ses yeux, Votre père dans sa pensée.
Profitez de ce temps si doux ! Vivez ! - La joie est vite absente ; Et les plus sombres d'entre nous Ont eu leur aube éblouissante.
Comme on prie avant de partir, Laissez-moi vous bénir, jeune âme, - Ange qui serez un martyr ! Enfant qui serez une femme !
Le matin Moriturus moriturae !
Le voile du matin sur les monts se déploie. Vois, un rayon naissant blanchit la vieille tour ; Et déjà dans les cieux s'unit avec amour, Ainsi que la gloire à la joie, Le premier chant des bois aux premiers feux du jour.
Oui, souris à l'éclat dont le ciel se décore ! - Tu verras, si demain le cercueil me dévore, Un soleil aussi beau luire à ton désespoir, Et les mêmes oiseaux chanter la même aurore, Sur mon tombeau muet et noir !
Mais dans l'autre horizon l'âme alors est ravie. L'avenir sans fin s'ouvre à l'être illimité. Au matin de l'éternité On se réveille de la vie, Comme d'une nuit sombre ou d'un rêve agité.
Les djinns
Murs, ville Et port, Asile De mort, Mer grise Où brise La brise Tout dort.
Dans la plaine Naît un bruit. C'est l'haleine De la nuit. Elle brame Comme une âme Qu'une flamme Toujours suit.
La voix plus haute Semble un grelot. D'un nain qui saute C'est le galop. Il fuit, s'élance, Puis en cadence Sur un pied danse Au bout d'un flot.
La rumeur approche, L'écho la redit. C'est comme la cloche D'un couvent maudit, Comme un bruit de foule Qui tonne et qui roule Et tantôt s'écroule Et tantôt grandit.
Dieu! La voix sépulcrale Des Djinns!... - Quel bruit ils font! Fuyons sous la spirale De l'escalier profond! Déjà s'éteint ma lampe, Et l'ombre de la rampe.. Qui le long du mur rampe, Monte jusqu'au plafond.
C'est l'essaim des Djinns qui passe, Et tourbillonne en sifflant. Les ifs, que leur vol fracasse, Craquent comme un pin brûlant. Leur troupeau lourd et rapide, Volant dans l'espace vide, Semble un nuage livide Qui porte un éclair au flanc.
Ils sont tout près! - Tenons fermée Cette salle ou nous les narguons Quel bruit dehors! Hideuse armée De vampires et de dragons! La poutre du toit descellée Ploie ainsi qu'une herbe mouillée, Et la vieille porte rouillée, Tremble, à déraciner ses gonds.
Cris de l'enfer! voix qui hurle et qui pleure! L'horrible essaim, poussé par l'aquillon, Sans doute, o ciel! s'abat sur ma demeure. Le mur fléchit sous le noir bataillon. La maison crie et chancelle penchée, Et l'on dirait que, du sol arrachée, Ainsi qu'il chasse une feuille séchée, Le vent la roule avec leur tourbillon!
Prophète! Si ta main me sauve De ces impurs démons des soirs, J'irai prosterner mon front chauve Devant tes sacrés encensoirs! Fais que sur ces portes fidèles Meure leur souffle d'étincelles, Et qu'en vain l'ongle de leurs ailes Grince et crie à ces vitraux noirs!
Ils sont passés! - Leur cohorte S'envole et fuit, et leurs pieds Cessent de battre ma porte De leurs coups multipliés. L'air est plein d'un bruit de chaînes, Et dans les forêts prochaines Frissonnent tous les grands chênes, Sous leur vol de feu pliés!
De leurs ailes lointaines Le battement décroît. Si confus dans les plaines, Si faible, que l'on croit Ouïr la sauterelle Crier d'une voix grêle Ou pétiller la grêle Sur le plomb d'un vieux toit.
D'étranges syllabes Nous viennent encor. Ainsi, des Arabes Quand sonne le cor, Un chant sur la grève Par instants s'élève, Et l'enfant qui rêve Fait des rêves d'or.
Les Djinns funèbres, Fils du trépas, Dans les ténèbres Pressent leur pas; Leur essaim gronde; Ainsi, profonde, Murmure une onde Qu'on ne voit pas.
Ce bruit vague Qui s'endort, C'est la vague Sur le bord; C'est la plainte Presque éteinte D'une sainte Pour un mort.
On doute La nuit... J'écoute: - Tout fuit, Tout passe; L'espace Efface Le bruit.
Extrait : Rêves
Aux champs où l'âme oisive Se recueille en rêvant, Sur une obscure rive Où du monde n'arrive Ni le flot, ni le vent,
Quelque asile sauvage, Quelque abri d'autrefois, Un port sur le rivage, Un nid sous le feuillage, Un manoir dans les bois !
Trouvez-le-moi bien sombre, Bien calme, bien dormant, Couvert d'arbres sans nombre, Dans le silence et l'ombre Caché profondément !
Que là, sur toute chose, Fidèle à ceux qui m'ont, Mon vers plane, et se pose Tantôt sur une rose, Tantôt sur un grand mont.
Qu'il puisse avec audace, De tout nœud détaché, D'un vol que rien ne lasse, S'égarer dans l'espace Comme un oiseau lâché.
II
Qu'un songe au ciel m'enlève, Que, plein d'ombre et d'amour, Jamais il ne s'achève, Et que la nuit je rêve A mon rêve du jour !
Aussi blanc que la voile Qu'à l'horizon je vois, Qu'il recèle une étoile, Et qu'il soit comme un voile Entre la vie et moi !
Que la muse qui plonge En ma nuit pour briller Le dore et le prolonge, Et de l'éternel songe Craigne de m'éveiller !
Que toutes mes pensées Viennent s'y déployer, Et s'asseoir, empressées, Se tenant embrassées, En cercle à mon foyer !
Qu'à mon rêve enchaînées, Toutes, l'œil triomphant, Le bercent inclinées, Comme des sœurs aînées Bercent leur frère enfant !
III
On croit sur la falaise, On croit dans les forêts, Tant on respire à l'aise, Et tant rien ne nous pèse, Voir le ciel de plus près.
Là, tout est comme un rêve ; Chaque voix a des mots, Tout parle, un chant s'élève De l'onde sur la grève, De l'air dans les rameaux.
C'est une voix profonde, Un chœur universel, C'est le globe qui gronde, C'est le roulis du monde Sur l'océan du ciel.
C'est l'écho magnifique Des voix de Jéhova, C'est l'hymne séraphique Du monde pacifique Où va ce qui s'en va ;
Où, sourde aux cris de femmes, Aux plaintes, aux sanglots, L'âme se mêle aux âmes, Comme la flamme aux flammes, Comme le flot aux flots !
IV
Ce bruit vaste, à toute heure, On l'entend au désert. Paris, folle demeure, Pour cette voix qui pleure Nous donne un vain concert.
Oh ! la Bretagne antique ! Quelque roc écumant ! Dans la forêt celtique Quelque donjon gothique ! Pourvu que seulement
La tour hospitalière Où je pendrai mon nid, Ait, vieille chevalière, Un panache de lierre Sur son front de granit.
Pourvu que, blasonnée D'un écusson altier, La haute cheminée, Béante, illuminée, Dévore un chêne entier ;
Que, l'été, la charmille Me dérobe un ciel bleu ; Que l'hiver ma famille, Dans l'âtre assise, brille Toute rouge au grand feu ;
Dans les bois, mes royaumes, Si le soir l'air bruit, Qu'il semble, à voir leurs dômes, Des têtes de fantômes Se heurtant dans la nuit ;
Que des vierges, abeilles Dont les cieux sont remplis, Viennent sur moi, vermeilles, Secouer dans mes veilles Leur robe à mille plis !
Qu'avec des voix plaintives Les ombres des héros Repassent fugitives, Blanches sous mes ogives, Sombres sur mes vitraux !
L'art et le peuple
I
L'art, c'est la gloire et la joie. Dans la tempête il flamboie ; Il éclaire le ciel bleu. L'art, splendeur universelle, Au front du peuple étincelle, Comme l'astre au front de Dieu.
L'art est un champ magnifique Qui plaît au coeur pacifique, Que la cité dit aux bois, Que l'homme dit à la femme, Que toutes les voix de l'âme Chantent en choeur à la fois !
L'art, c'est la pensée humaine Qui va brisant toute chaîne ! L'art, c'est le doux conquérant ! A lui le Rhin et le Tibre ! Peuple esclave, il te fait libre ; Peuple libre, il te fait grand !
II
Ô bonne France invincible, Chante ta chanson paisible ! Chante, et regarde le ciel ! Ta voix joyeuse et profonde Est l'espérance du monde, Ô grand peuple fraternel !
Bon peuple, chante à l'aurore, Quand le soir vient, chante encore ! Le travail fait la gaîté. Ris du vieux siècle qui passe ! Chante l'amour à voix basse, Et tout haut la liberté !
Chante la sainte Italie, La Pologne ensevelie, Naples qu'un sang pur rougit, La Hongrie agonisante ... Ô tyrans ! le peuple chante Comme le lion rugit !
Ce que c'est que la mort
Ne dites pas : mourir ; dites : naître. Croyez. On voit ce que je vois et ce que vous voyez ; On est l'homme mauvais que je suis, que vous êtes ; On se rue aux plaisirs, aux tourbillons, aux fêtes ; On tâche d'oublier le bas, la fin, l'écueil, La sombre égalité du mal et du cercueil ; Quoique le plus petit vaille le plus prospère ; Car tous les hommes sont les fils du même père ; Ils sont la même larme et sortent du même oeil. On vit, usant ses jours à se remplir d'orgueil ; On marche, on court, on rêve, on souffre, on penche, on tombe, On monte. Quelle est donc cette aube ? C'est la tombe. Où suis-je ? Dans la mort. Viens ! Un vent inconnu Vous jette au seuil des cieux. On tremble ; on se voit nu, Impur, hideux, noué des mille noeuds funèbres De ses torts, de ses maux honteux, de ses ténèbres ; Et soudain on entend quelqu'un dans l'infini Qui chante, et par quelqu'un on sent qu'on est béni, Sans voir la main d'où tombe à notre âme méchante L'amour, et sans savoir quelle est la voix qui chante. On arrive homme, deuil, glaçon, neige ; on se sent Fondre et vivre ; et, d'extase et d'azur s'emplissant, Tout notre être frémit de la défaite étrange Du monstre qui devient dans la lumière un ange. | |
| | | yurikae Débil mental qui entend des voix
Nombre de messages : 2885 Age : 32 Localisation : Paris Réputation : 3 Date d'inscription : 17/08/2008
| Sujet: Re: Victor Hugo Mar 19 Aoû - 13:14 | |
| C'est magnifique ! | |
| | | Psykotronik Modérateur
Nombre de messages : 559 Age : 44 Localisation : Landes (40) Réputation : -1 Date d'inscription : 05/08/2008
| Sujet: Re: Victor Hugo Mer 20 Aoû - 1:22 | |
| Merci beaucoup pour ce grand moment de littérature ! Un très grand écrivain romantique. | |
| | | Angel-of-mind Admin
Nombre de messages : 1207 Age : 45 Localisation : Suisse Réputation : 1 Date d'inscription : 05/08/2008
| Sujet: Re: Victor Hugo Mer 20 Aoû - 1:24 | |
| C'est le meilleur !!!! lol | |
| | | MoryArty Goule
Nombre de messages : 22 Age : 30 Localisation : Suisse-Vaud Réputation : 0 Date d'inscription : 22/04/2010
| Sujet: Re: Victor Hugo Sam 24 Avr - 14:49 | |
| haaa les djinns... je l'aime celui là.... | |
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| Sujet: Re: Victor Hugo | |
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| | | | Victor Hugo | |
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