pas l'habitude de faire ça, mais ce film m'a tellement marqué à l'époque, et encore un peu maintenant que j'avais écrit ça dans le tram en rentrant du cinéma, je vous le copie de mon vieux blog , je prolongeais la célèbre tirade du début...
Pauvre vétéran du vaudeville successivement voyou et victime vi les vicissitudes de la vie. Ce visage non pas un vil vernis de vanité est un vestige de la vox populi, vidée, volatisée. En revanche cette vielle vexation se voit vivifiée et se voue a vaincre la venale et virulente vermine visant le vice et la vorace violation de la vérité.
Seul verdict valable la vengeance : une vendetta, un voeu non vain car sa valeur et sa véracité valideront vite les vigilents et vertueux.
Vrai cette vichyssoise verbale vire verbeuse, je finirai donc en me disant fort honnoré
Et tu peux m'appeler V.
Il y a des films que l'on voit sans savoir pourquoi, parcequ'ils sont en avant première et que l'auteur de la bédé est là.
Et l'on ressort vidé, vaincu voué à une vie vaine de victoire volée...
Vous les videurs d'envie visant les veines vielles des corps violentés, vous qui voyez vainement les vices dans toutes volontés, vous les violeurs vifs des âmes virulentes, voyez ces visages, ces verbes vagabondés et virvoltés sur l'écran, et videz vos valises de venins.